Vampire Killer

Plongez dans l’aventure gothique avec Simon Belmont, armé de son légendaire fouet ! Vampire Killer, sorti en 1986 sur MSX2 par Konami, est un des jeux les plus emblématiques de la saga Castlevania. Cet épisode, premier de la série sur MSX, vous transporte dans les sombres couloirs du château de Dracula, où chaque salle regorge de mystères et de dangers. Avec son gameplay unique mêlant exploration et action, ce titre pose les bases d’une franchise devenue culte. C’est le premier jeu MSX2 pour l’éditeur Konami qui signe ici l’un des plus grand chef d’œuvre du standard.

Si vous possédez un exemplaire complet en bon état, vous détenez une véritable pièce de collection qui ravira les amateurs de retrogaming et les fans de la saga Castlevania !

Cette version est comme neuve. La boite est impeccable, tout comme la cartouche ainsi que la notice. La pièce de collection indispensable ! Photos supplémentaires sur demande.

 

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Caractéristiques :

A propos

Vampire Killer n’est pas qu’un simple jeu d’action. Contrairement à son homologue NES, il introduit des mécaniques d’exploration : chaque niveau est un labyrinthe où il faut collecter des clés pour ouvrir des portes et progresser. Ce choix de design donne au jeu une dimension stratégique et ajoute un charme particulier à l’expérience.

Sorti sur le standard MSX2, Vampire Killer exploite à merveille les capacités graphiques de la machine avec des décors somptueux, une ambiance oppressante, et des sprites détaillés. La bande-son, composée par Kinuyo Yamashita, reste gravée dans la mémoire des joueurs, notamment grâce au thème légendaire « Vampire Killer ».

Saviez-vous que…

    • Vampire Killer est sorti le 30 octobre 1986, soit seulement un mois après la version Famicom Disk System. C’est le premier jeu Konami développé spécifiquement pour le MSX2, et l’un des tout premiers MegaROM de 1 Mbit produits pour cette machine.

    • Ce titre, appelé 悪魔城ドラキュラ (Akumajō Dracula) au Japon, partage son univers avec Castlevania mais a été conçu par une équipe différente, dirigée par Akihiko Nagata, avec Isao Akada, Katsuya Nagae et Harima à la programmation.

    • Le MSX2 disposait de graphismes plus colorés (512 couleurs) que la Famicom, mais ne gérait pas le défilement horizontal. Konami a donc choisi une progression “écran par écran”, donnant au jeu une atmosphère plus labyrinthique et stratégique.

    • Contrairement à la version NES, la version MSX2 n’a pas de fonction “Continue” : chaque défaite oblige à recommencer depuis le début, un détail qui a fait la réputation de sa difficulté.

    • Le jeu a été classé à l’époque comme “RPG Adventure” — non pas pour son scénario, mais parce qu’il introduisait des éléments de progression et d’équipement : boucliers, bottes, plumes, potions, cartes et même un commerce avec une mystérieuse vieille femme cachée derrière un mur.

    • Cette “vieille femme”, en réalité un personnage neutre, pouvait échanger des cœurs contre des objets… mais Simon Belmont pouvait aussi la fouetter pour lui voler ses biens, un détail noir et ironique souvent cité comme un moment culte de la version MSX2.

    • Le système économique du jeu variait selon la “moralité” du joueur : les “Bibles blanches” augmentaient la valeur d’échange, tandis que les “Bibles noires” la faisaient chuter — un concept rappelant déjà les futurs systèmes de karma dans les RPG.

    • Le concept de “clé blanche”, indispensable pour ouvrir la porte de fin de niveau, remplaçait la simple course à l’arrivée : chaque étage du château devenait une énigme à résoudre, à mi-chemin entre exploration et puzzle.

    • Une carte était disponible via la touche F2, mais utilisable seulement trois fois par niveau : elle affichait la position du joueur et de la sortie, sans révéler la clé, renforçant la tension et le sentiment d’errance dans le château.

    • Certains niveaux comportent des pièges vicieux : par exemple, une clé blanche placée dans un gouffre attire le joueur vers une impasse sans retour. Ce type de design cruel mais ingénieux a marqué les fans du MSX.

    • Le jeu proposait deux boucliers distincts : le bouclier A, qui absorbait les attaques physiques, et le bouclier B, qui déviait les projectiles. Une innovation encore rare dans les jeux d’action de 1986.

    • La musique, adaptée de la version Famicom, fut recomposée pour le chip PSG AY-3-8910 du MSX par Hideaki Shikama. Elle contient des morceaux originaux dont Walking on the Edge, exclusif au niveau 18.

    • Les thèmes emblématiques (Vampire Killer, Wicked Child, Stalker) présentent des variations inédites : tempo plus lent, basse renforcée, effets d’écho, et parfois des coupes entières dans l’intro — donnant à cette version une ambiance plus inquiétante.

    • Le niveau 18 (Tour de Calvert), qui clôt le jeu, possède une structure et une musique uniques, non reprises dans les autres versions de Castlevania.

    • À sa sortie, Vampire Killer servait de démo dans les magasins japonais pour présenter les capacités du nouveau Panasonic FS-A1 MSX2, vendu 29 800 ¥ — un coup marketing concerté entre Panasonic et Konami.

    • Enfin, malgré sa renommée, la version MSX2 est longtemps restée confidentielle : les rééditions sur Project EGG et Virtual Console Wii U n’ont jamais corrigé l’absence du “Continue”, conservant sa difficulté d’origine.

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